La contemplation du roi vampire

(1er RP !!!)

Je regardais par la fenêtre de mon palais. Des randonneurs avec leurs équipements étaient conduis dans mon palais par mes mercenaires avec le prétexte que j'allais les acceuillirs. Je tatais de la langue mes canines acérés prêt à mordre. Ces mortels là n'avaient pas l'air très costaud ni très coriace, je décidais d'un vif débat cérébral de ne pas leurs donner l'honneur de devenir vampire, ils iraient directement aux cimetières et serviraont de nourritures au corbeau et aux rôdeurs. Je n'était pas de très bonne humeur en ce moment, les lycans qui c'étaient échappées de mon commandement me causait des problèmes et commençaient à lier des alliances avec les loups garous. Ca ne présageait rien de bon. Je continuais de regarder un peu plus loin. Tout avait l'air calme. J'étais le roi et je pouvais faire tout se que bon me semblait.
Soudain derrière moi une porte s'ouvris, Jay Wells menait à moi les deux randonneurs qui semblait intimidé par moi, je me retournis avec un grand sourire:
-Bonjour mes amis ! Que diriez vous d'un dîner...

J'étais assise dans la grande salle, seule avec mon piano... J'entendis Jay Wells rentrer avec le repas de notre seigneur : le noble Agnar. J'entendis très nettement mon roi prononcer :
- -Bonjour mes amis ! Que diriez vous d'un dîner...
Je me mis alors à jouer de mon instrument. C'était une de mes tâche au château : jouer pour dissimuler les cris d'agonie de nos proies pour ne pas effrayer les autres promeneurs et futures proies... C'était également pour attirer les randonneurs trop curieux...
Cette fois-ci, j'avais décider de jouer la Petite Musique de Nuit de Mozart pour "détendre" l'atmosphère. J'avais à peine finit le troisième mesure que Jay Wells entra et me dis que le repas était finit. Il ajouta que Agnar voulais me voir. Je le suivais et j'entrais dans la chambre royale. Je m'inclinais respectueusement et je dis d'une voie soumise :
- Vous vouliez me voir mon seigneur ?
- ....

-Oui Eärwen. Assis toi je t'en pris.
La belle Eärwen pris une chaise et s'assis. Je poursuivis:
-Tu es l'une de mes guerrières les plus loyales, de plus j'ai entière confiance en toi.
Avant de continuer, j'essuya une trace de sang au coin de ma lèvre. Derrière moi, Jay Wells ramassais les derniers morceaux des randonneurs pour les transporter au cimetière. Je continua donc:
-J'ai donc décidé de t'envoyer en mission à la mine des lycans. J'ai toutes les raisons de pensée que les résistants vont bientôt essayer de libéré les leurs pour augmeter leurs trouppes. Je veux que tu séléctionnes tes guerriers eet que tu partes avec eux pour protéger la mine. Naturellement tu as le choix. Alors qu'en dis tu ?
Eärwen hésitat puis me regardas et répondis:
-...

- A vos ordres, répondis-je en m'inclinant. Voulez-vous des prisonniers ?
- Que ferais-je d'eux !
- Pour les interroger, dis-je avec politesse. Ils pourrais nous révéler l'endroit ou se trouve leur camp de base et quel sont les autres projets de Lycanz... Mais si vous n'en voulez pas, j'agirais selon vos ordres.
Il réfléchis pendant quelques instants puis il me dis :
- ...

-Tu as raison Eärwen. Je prendrais des prisonniers. J'en aurais besoin pour mes expériences et pour remplir la réserve de sangs.
-Bien maître.
-Une dernière question, j'ai entendus dire que tu surveillais le projet du serum de vérité, est-il prêt ?
-Je...je ne sais pas trop mon seigneur. Je vais me renseigner, quand dois-je partir pour la mission ?
Je réfléchis puis dis:
-Demain à l'aurore.
-Bien.
-Tu peux disposer Eärwen.
Elle partis de ma chambre. Je me remis en poste d'observation devant ma fenêtre en pensant:
"Je t'aurais Lycanz, tu ne fais pas le poid"

Je sortie de la chambre et je me rendis en moins de trente secondes (et oui les avantages des vampires...) au laboratoire. J'entrais sans frapper et je criais au chercheur humain :
- Où en est ce sérum de vérité !
- Il... il est prêt...
- Pourquoi ne m'a-t-on pas prévenu !
- Je l'ignore...
- Bien, dis-je d'une voie plus calme, tu as fait des tests concluants ?
- Plus que concluant ! dit-il avec un peu de fierté mal dissimulée. Je l'ai testé sur les cobayes (humains) que vous m'avait envoyer et ils ont tout avouer !
- Tout ?
- Tout !
Il sautait presque de joie.
- Parfait je vais en informer le seigneur Agnar. Donne moi le sérum.
Il me tendit un flacon en verre, remplit d'un liquide vert.
Je repartis aussi vite que j'étais et je m'annonçais devant la porte de la chambre royale. Mon maître m'invita à entrer. Je m'inclinais et je lui apprenais la bonne nouvelle et je lui tendis le flacon. Il l'examina un instant et me demanda :
- ...

-Est-il utilisable sur les lycans ?
-Euh...
-Ne me dis pas que les chercheurs l'ont testés que sur des humains ?
-Ben... si mon seigneur.
J'étais fou de rage:
-FOUTUS HUMAIN !!!
Eärwen étais déstabilisé, elle bafouillas:
-Je...je suis vraiment désolé.
Je me calmas un peu puis je dis:
-Se n'est pas grave. Demain, quand tu me ramèneras les prisonniers lycans et que tu me feras le compte rendus de bataille, on testeras le serum sur les prisonniers, si marche tant mieux, se seras comme si on avait déjà gagné la guerre, si ça ne marches pas, on demanderas aux chercheurs d'en préparer un qui marche et on gagneras la guerre, mais juste un peu plus tard. Se n'est que question de temps, rien ne me résiste. Rien !
Eärwen répondis:
-...

- Ces Lycans ne savent pas à qui ils ont à faire. Vous les écraserez sans la moindre difficulté.
- Exact. Je suis Agnar et je serais bientôt le maître absolu ! Ce ne sont pas vulgaires clébards qui vont compromettre mes plans !
Il attendit quelques instant avant de me dire :
- Tu peut disposer Eärwen, prépare-toi pour demain.
- Bien sir. Mais j'ai une dernière question....
- Vas-y je t'écoute.
- Voulez-vous que je vous ramène Lycanz vivant ou mort ?
- ...

-Lycanz ? Je ne penses pas qu'il partiras à la bataille, c'est un lâche. Mais au cas où...
-Oui ?
-Tu verras, si jamais tu le trouves en travers de ton chemin et qu'il présente une réelle menace tue-le ! Si tu arrives à le neutraliser sans mettre fin a sa misérable vie, on aviseras...
Je lui lanças à la fin de mon mot un petit objet:
-C'est une couronne de lien, quand tu le souhaiteras tu pourras communiquer par la pensée avec moi. Maintenant va !
Eärwen s'inclina puis sortis de ma chambre. Je pus ainsi reprendre ma contemplation à ma fenêtre face à mon grand territoire.

Je m'inclinais et je ressortis de la chambre. Je marchais dans les couloirs du château, sans but précis : je réfléchissais à qui m'accompagnerais le lendemain... Je décidais d'aller annoncé à Jay Wells qu'il m'accompagnerais à la mine. Mais où était-il ?
Je fis rapidement le tour du château sans résultats. Je m'approchais d'un garde et je l'interrogeais.
- Il est au cimetière, me répondit-il. Il enterre les cadavres du repas royal.
- Merci.
Je courus vers la sortie du château.
"J'espère qu'il vas accepter..." pensais-je.

Suite dans : Cimetière Maudit : "Enterrement"