la rencontre de Kasigraa

Je préparais une antidote contre le virus, lorsque l'on frappa a ma porte. Je me dirigeais vers la porte ou voir qui c'était, et je fus ébloui !!!Éblouis par la beauté de la femme qui était derrière cette porte !!!Je lui ouvris et elle me dit : "Bonjour Mr, est-ce ici que la siphilicorporum à été demandé ?" Je répondis : "Oui, merci !Ils engagent des anges pour faire des livraisons maintenant ?" "Non c'est juste pour aider un ami nommé Agnar, il est malade !" Et, comme tout homme galant, je lui proposa d'entrer : "Merci bien Mr...Mais je ne connais toujours pas votre nom !" "Je m'appelle Daryl !Et vous sublime demoiselle ?" "Moi c'est Kasigraa. Enchanté de vous connaître !" "De même !Je peux vous proposer un verre de sang ?" "Non merci, pour moi ce sera juste de l'eau." "Vraiment ? Très bien !" Et nous discutâmes pendant 2heures quand On entendit les grincement d'une trompette. Nous sortîmes voir ce qu'il se passais et nous vinrent le voisin avec une trompette dans sa chambre...

J'avais passé pas loin de discuter avec cet inconnu du nom de Daryl, il étais trés simpatique, et cela me faisais du bien de discuter un peu avec des gens du monde exterieur, des gens qui ne savaient rien de ce qui se passais dans le palais, des gens qui menaient une vie paisible et insouciante.
Puis notre discution fut interompue par un drole d'oiseau qui jouait de la trompette, puis je me rendis compte que le temps passais et qu'il fallais que je fasse vite. J'avais laissé Loureaï au chateau, au cas ou un problème survenais, il pouvait me prevenir par la pensée.
Mais soudain un signal d'alerte me viens : apparament Agnar s'étais évanouï !
Je n'avais plus le temps de discuter, j'appella Loureaï qui vint au prés de moi, il avait beaucoup grandit : depuis qu'Elinhya avait accouché, il s'était réincarné encore une fois, le jour des dix ans de Veered.
Daryl paru surpris par l'apparition soudaine de mon phoenix, il étais maintenant plus gros que moi et pouvait me porter sur son dos, les voyages étaient ansi considèrablement racouccis. De plus nous pouvions nous teleporter à l'endroit où est l'un ou l'autre, ou échanger nos place réspéctives.
Je caressa Loureaï et dit à Daryl :
-Je sais que tes recherches ne sont pas finies, mais par pitié, cèdes moi au moins quelques plantes qui puissent diminuer la douleur, retarder la mort de mon ami !
-...