Personne à gauche.
Personne à droite.
personne devant.
Ni derrière.
Je m'aventurai furtivement dnas la temple, trouna à gauche, puis à droite, pui encore à droite, pour arriver dans une pièce vide. Alors, je soulevai une dalle, puis une autre, et une autre.
Je me faufilai dans un sous-terrain, puis remettait les dalles en place.
J'allumai une salle obscur, avec uniquement un lit et un présentoire, puis de la nourriture, de la boisson, et des plantes médicinales posées dessus.
"Réveillez-vous" chuchotai-je
-mmh...
-Désolé de ne pas être venu plus tôt, je suis assez occupé au camp, il y a beaucoup de malades.
-Pourquoi ne m'enmènes-tu pas au camp ?
-Je vous répondrai quand vous irez mieux
-Je vais mieux, s'énerva-t-il
-C'est moi qui déciderai quand vous irez mieux. Voilà vos médicaments et votre potion, buvez.
Il but, il goba ce qu'il fallait, pendant que je refaisais ses bandages, pensai ses blessures, et cetera...
je lui donnai à manger, puis à boire, pendant qu'il maugréait "je veux sortir et voir le camp, la lumière du jour..."
-Vous tiendrez jusqu'à demain, et puis je vous ai apporté des racines, si jamais vous avez faim
-Je ne suis pas un écureil, je mange de la viande
-La viande ne se conserve pas, les racines, si ! Et il y a de l'eau ici.
-Comment le savez-vous ?
-Mon amie me l'a enseignée, c'est très bon vous verrez, ç a le gout de noisette, un peu...
Il maugréa encore, alors je sortis.
Poussa une dalle, puis deux dalles. Sauta, et les re-positionna.
Puis regarda et partit du temple de la lune en direction du camp. Je savais très bien que personne ne m'avait suivit : et que personne ne saurait jamais qui je cachai.