Arrivée discrète

Eärwen et moi arrivions près du village des vampires pour chercher l'assassin de ces enfants et deux ceux de Lycanz nous avions dis au loup-garoux de nous attendre un peu plus loin derrière et que nous les appelleront si jamais il y avait un problème. Eärwen était très tendu autant moi les vampires ne m'avaient jamais accepter (et c'est pas en les tué que cela allé arriver) autant elle avait vécu avec pendant plusieurs années et maintenant elle était rejeter des siens .Une fois assez prés je dit:
-Passe devant je ne connais pas cette endroit .
-Très bien mais fait attentions j'ai vue un valkyrie pendante le voyages si elle nous repère nous somme morts
-ok je surveille nos arrière tu a une idée de ou nous allons fouiller ??
-...

- Je n'ai pas d'idée précise... Restons discrèts ce sera déj)à très bien. Nous ne sommes pas les bienvenus...
Je regardais autour de moi, à part les Lycans qui se prommenaient dans les rues et les vampires qui leur jettaient des regards noirs, rien n'avait changé. Je me souvenais de mes mission d'espionnage et je repérais avec soin les entré des "issues de secours". En effet, c'étaient des tunels qui débouchaient près du château. Très praticque pour s'enfuir et rejoindre le palais en très peu de temps, les gardes d'Agnar étaient les seuls à les connaître. Aujourd'hui encore, les vilageois ingnoraient leur exisantance.
Si nous nous faisons repérer, nous pourrons nous en servir pensais-je.
Ma capuche noire couvrait ma tête et descenbdait un peu, de manière à cacher mon visage.
Sopudain, perdue dans mes pensées, je rentrais dans quelqu'un.
- Par... pardon, dis-je d'une voie plus aigue que d'ordinaire.
Je regardais le vampire, que je reconnu tout de suite : Kylar.
Que fait-il ici ?
Je n'eu pas le temps d'en dire plus car il dit :
- Bien le bonjour ma reine.
Il insista sur ce dernier mot. C'est alors que tous les vampires s'arrêtèrent net et se retournèrent vers nous.
- Belle journée pour se prommener, continua-t-il. Vous êtes venu sans gardes ? C'est imprudent...
Je serrais les points. J'allais peut être être obligée de me battre. Contre mes anciens amis, que je considérais toujours comme. Je n'en avais pas envie...
Alex se rapprocha de moi, prêt lui aussi à se battre. J'inspirais profondément et je dis avec une touche d'humour :
- Je n'ai pas besoin des ces clébards pour me protéger.
Kylar sourit.
- De plus, poursuivais-je, je n'ai pas l'intention de me défendre si un de mes frères m'attaque...
- Nous ne sommes pas tes frères ! cracha un rôdeur.
Je relevais la tête et ma capuche tomba.
- Peut être pour vous... dis-je en me tournant vers lui. Mais pour moi c'est ainsi.
- Retourne chez le chef des clébards! Car tu n'es qu'une chienne ! Comme eux !
Les larmes me montèrent aux yeux mais je ne laissais rien paraître.
- C'est faux, répondis-je.
- Ah oui ? Alors pourquoi lui avoir donnée des enfants ! Ce ne sont que des batards !
C'en fut trop. Je dégainais mon épée et je criais :
- Laisse mes enfant en dehors de ça ! Il n'ont rien avoir là dedans !
Kylar intervenu :
- ...

"-Arrêtez! Si nous la prenons en otage elle pourait nous servir pour traiter avec Lycanz...
-Comme si j'allais vous laisser toucher à un seul de ses cheveux! hurla Alex
-Et comment compte tu m'en empêcher, misérable humain?! lui lançais-je avec un ton chargé de mépris
-Et bien...
-Stop Alex, le coupa Eärwen, Je ne me laisserai pas faire mais nous pourrions d'abord essayer de récupérer les renseignement que nous étions venus cherché?...non?
-Parce que tu crois que nous allons vous aidez? répliquais-je, Avant que tu ne rejoigne ce chien, je t'appréciai Eärwen... tu faisais partie de ces rares personnes qui pouvaient se dire... mon... amie...
-Pour moi tu l'es toujours Kylar..."
Une grande tristesse et une grande nostalgie m'envahirent. Je sentis les larmes me monter aux yeux. Pour que personne ne les voient je dus masquer mon visage avec un masque de ténèbres.
"-Je veux parler à Eärwen en privé, dis-je, mais à mon retour, si il y a eu un seul combat avec qui que ce soit je vous préviens... Viens Eärwen..."
Je me mis à marcher et elle me suivit.
"-Que veux-tu? demandais-je
-...

Je rengeais mon arme et, juste avant de suivre le vampire, je glissais à Alex :
- Quoi q'il arrive, ne tue personne.
Puis je partie à la suite de Kylar. La foule s'écarta à notre passe. Il me conduisit dans une ruelle désete, de sorte que personne ne puisse nous entendre.
- Que veux-tu ? me demanda-t-il.
- Un des mes fils a été assassiné, commençais-je. Je sais que tu t'en moque et peut être même que tu en es heureux... Mais, le coupable doit être puni.
- Je n'y suis pour rien si c'est ça que tu insinus.
- Jamais je n'insinurais une telle chose. Je veux juste savoir si tu es au courant de quelque chose...
- Si c'est un vampire qui est le meurtrier, tu crois vraiment que je vais le dénoncer.
- J'espère de tout coeur que se n'est pas un vampire... dis-je en le regardant droit dans les yeux. Je pense même que ce n'en est pas un. Les vampires, même fous de rage, ne tue pas ainsi.
- Si tu penses que ce n'est pas un vampire, pourquoi être venu ?
- Je ne veux laisser aucune piste de côté. Sais-tu quelque chose ?
- Non, répondit-il en hâte.
Il cachait quelque chose mais je me contentais de dire :
- Ok, merci Kylar.
Je me retournais pour partir mais je m'arrêtais pour lui dire une dernière chose :
- Je pense que tu as de l'influence ici, je te demande juste une chose : si tu dois te venger, torture moi autant que tu veux, mais laisse mes enfants en dehors de tout cela. Il n'ont pas choisit leurs parents et ils n'ont pas à payer pour les erreurs que nous avons comis.
Puis je m'éloignais. J'allais sortir de la ruelle quand Kylar me lança :
- ...

"-Tu sais très bien que je peux te haïr devant les autres Eärwen,... mais qu'au fond... "
Je ne terminais pas ma phrase, et me téléportais avec Eärwen là où se trouvaient Alex et quelques uns de mes hommes. Sans dire mot, je tournais les talons et partis, suivit de mes hommes...
Je contactais Eärwen par la pensée:
"-Aurevoir Eärwen...
-...

- Au revoir Kylar. Et merci, tu es... un véritable ami.
Puis Alex et moi tournâmes les talons pour sortir du village :
- Alors ? demanda finalement l'Immortel.
- Rien de neuf.
- Il ment c'est impossible !
- Arrête Alex ! criais-je. Ce ne sont pas eux !
- Il t'a juste dit que ce n'est pas lui et tu le crois !
- Oui !
J'accélérais le pas et j'appelais par pensée :
Saphira, je veux m'évader, m'envoler, je t'en prie viens me chercher.
Grâce à cette petite formule toute bête, ma dragonne pouvait me trouver n'importe où.
Elle devrait vite arriver...
J'avais besoin de m'isoler. J'avais déjà tant perdu : mon bien-aimé, mes amis, et maintenant un de mes fils.
Au loin, j'entendis les battements d'ailes de ma dragonne. Alex me rattrapa et me dit :
- ...

- Une valkyrie attention.
je me jeta sur elle pour la placer au sol alors je vit la bête se posait et je reconnut un dragon. J’aidai Eârwen a se relevais et je lui demandai:
-depuis quand y a t'il des dragons dan cette régions ?? et depuis quand les dragons ne nous attaquent pas ??
C’est alors que je reconnus saphira.
-a c'est toi qui l'a appelait ça explique tout
-...

- Excuse moi de te laisser seul mais... J'ai besoin d'un peu de solitude...
- Je comprend.
- Sois prudent.
- Ne t'inquiète pas pour moi mais pour toi.
- Je serais de retour avant la nuit, préviens Lycanz et veille sur mes enfants s'il-te-plait.
- Bien sûr.
Je montis sur ma dragonne qui s'envola. Je lui chuchotais :
- Merci d'être venue si vite.
Elle tourna la tête pour me dire : C'est normal. Où va-t-on ?
- A la Plaine du Sang, j'ai... quelque chose à faire....

[Suite à la plaine]